KIVUVU (Hope)

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Concept, Choreography and Performance: Blaise Mangitukulu
Poet/Writer/Collaborator Artist: Thierry Nkinzo Le Juif
Singer/Percussionist: Ciza Ntamushigo Joseph
Co-director/ Danser: Darel Longundu

Having observed in person the evolution of technology, the advent of social networks as well as the role they play in this unprecedented health situation that is taking place all over our planet, these three elements combined, added to the morals of modernity, have continued to thrive especially among young people, degrading therefore our cultural values ​​in favor of imported ones; starting from commercial products and into mentalities, African youth desperately consumes everything. Starting from the atrocity of the wind movement which is currently blowing in Africa, this situation unfortunately provokes a conflict, not only intergenerational but also, and above all, an identity and social crisis in which the youth seem to have lost hope and to not know which way to turn, nor how to orient themselves.

That’s the reason why we, as artists, feel the need to pose challenges and make our society reflect on its responsibilities through a dance performance which combines elements of traditional and contemporary  dance and music; to create a unique show around community dance just to comfort a life in despair, with the help of a hope that was lost in the windy midst of this devastating scourge, which has not respected human values as a whole,  and to restore the exact image of inspired body movement after covid-19.

Our objective is for this image to be recreated by pure consciousness, according to the true image of my origins, black that I am, African by blood, Congo is my country and the East is my home… Currently the body exists and functions as a whole of creation of sensations that completes my movements. It is offered to the life of the other dancing bodies, while the screen renounces it, and is ready to collaborate with others in order to share a point of life within a limitation towards the discovery of cultures and can maybe provide some appeasement to the body that is physically tiredfrom the dancing motion.

KIVUVU (espoir)

Conception, Chorégraphie et Interprétation: Blaise Mangitukulu
Poète / Écrivain / Artiste Collaborateur: Thierry Nkinzo Le Juif
Chanteur / Percussionniste: Ciza Ntamushigo Joseph
Co-directeur/Danseur: Darel Longundu

Ayant observé en personne l’évolution de la technologie, l’avènement des réseaux sociaux ainsi que le rôle qu’ils jouent dans cette situation sanitaire sans précédent qui est en train de traverser notre planète dans son ensemble, ces trois éléments combinés, ajoutés aux mœurs de la modernité, ont continué à prospérer surtout chez les jeunes, dégradant donc nos valeurs culturelles au profit de l’importation… à partir de produits commerciaux et jusqu’ aux mentalités, la jeunesse africaine consomme désespérément tout. Partant de l’atrocité du mouvement du vent qui souffle actuellement en Afrique, cette situation provoque malheureusement un conflit, non seulement intergénérationnel mais aussi et surtout, une crise identitaire et sociale dans laquelle la jeunesse semblent avoir perdu espoir et ne pas savoir à quel saint se vouer ni comment s’orienter.

C’est la raison pour laquelle nous, en tant qu’artistes, ressentons le besoin d’interpeler et de faire réfléchir notre société sur ses responsabilités à travers une performance de danse qui combine des éléments de danse et de musique traditionnelles et contemporaines; pour créer un spectacle unique autour de la danse communautaire pour réconforter la vie d’un espoir perdu au milieu du vent de ce fléau ravageur, qui n’a pas respecté les valeurs humaines dans leur ensemble, et pour redorer l’image exacte du mouvement du corps inspiré après covid-19.

Notre objectif est que cette image soit réparée par une conscience pure, selon l’image vrai des mes origines, noir que je suis, Africain du sang, Congo mon pays et l’Est ma maison … Actuellement le corps se trouve dans son ensemble de création de sensations qui complète mes mouvements. Il s’offre à la vie des autres corps dansants, tandis que l’écran y renonce, et est prêt à collaborer avec les autres afin de partager un point de vie dans une limitation vers la découverte des cultures et peut peut-être apporter un apaisement au corps qui est physiquement fatigué du mouvement de danse.